Vitrail en médaillon représentant un épisode biblique de l'ancien testament fin 19ème siècle
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Vitrail en médaillon représentant un épisode biblique de l'ancien testament fin 19ème siècle

XIXe siècle
Renaissance
LIVRAISON
Depuis : 37230, Luynes, France

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    Vitrail en médaillon représentant le chapitre 44 de la Genèse de l'ancien testament "Benjamin est accusé de vol". Vitrail peint à la grisaille et au jaune d'argent serti de plomb, rehauts à la dorure sur les plomb au dos du vitrail. Chaînette permettant d'accrocher le vitrail.

    Epoque fin 19ème, début 20ème siècle

    Dimensions : Diamètre 28,8 cm, de la partie peinte diam. 25 cm

    ****
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    Extrait de la Bible, Chapitre 44 de la Genèse de l'ancien testament

    Benjamin est accusé de vol

    Joseph ordonna à l’intendant de sa maison : Remplis les sacs de ces hommes d’autant de vivres qu’ils peuvent en contenir, et remets l’argent de chacun à l’entrée de son sac. Tu mettras ma coupe, la coupe d’argent, à l’ouverture du sac du plus jeune, avec l’argent de son blé.

     L’intendant exécuta les ordres de Joseph. Le lendemain matin, dès qu’il fit jour, on laissa partir ces gens avec leurs ânes. Ils venaient de quitter la ville, et n’en étaient pas encore bien loin, quand Joseph dit à son intendant : Va, poursuis ces gens ! Quand tu les auras rejoints, tu leur demanderas : « Pourquoi avez-vous rendu le mal pour le bien ? Pourquoi avez-vous volé la coupe dont mon maître se sert pour boire et pour lire les présages ? Vous avez mal agi. »

     L’intendant les rattrapa donc et leur parla comme son maître le lui avait dit. Ils lui répondirent : Pourquoi mon seigneur dit-il pareille chose ? Tes serviteurs n’ont jamais eu la pensée de commettre une telle action ! Nous t’avons rapporté du pays de Canaan l’argent que nous avons trouvé à l’ouverture de nos sacs. Pourquoi aurions-nous donc volé de l’argent ou de l’or dans la maison de ton maître ? Que celui de tes serviteurs chez qui on trouvera cette coupe soit mis à mort et que nous-mêmes nous devenions esclaves de mon seigneur !

     L’intendant répondit : Bien ! Je vous prends au mot ! Celui sur qui on la trouvera sera mon esclave, mais les autres seront innocentés.

     Ils se hâtèrent de déposer chacun son sac par terre et de l’ouvrir. L’intendant fouilla leurs sacs en commençant par celui de l’aîné et en finissant par celui du plus jeune. Et la coupe fut trouvée dans le sac de Benjamin. 13 Ils déchirèrent leurs vêtements, chacun rechargea son âne, et ils retournèrent à la ville.

     Juda se rendit avec ses frères à la maison de Joseph ; celui-ci s’y trouvait encore ; ils se prosternèrent à terre devant lui. 15 Joseph leur dit : Qu’est-ce que vous avez fait là ? Ne saviez-vous pas qu’un homme tel que moi a un pouvoir de divination ?

     Juda dit : Que répondrons-nous à mon seigneur ? Que dirions-nous ? Comment nous justifier ? Dieu a mis à découvert la faute de tes serviteurs. Nous voici donc les esclaves de mon seigneur, nous, ainsi que celui qui avait la coupe dans son sac.

     Mais Joseph déclara : Il ne me viendrait pas à l’idée d’agir ainsi ! L’homme dans le sac duquel on a trouvé la coupe sera mon esclave ; mais vous, retournez tranquillement chez votre père.

     Juda s’offre à la place de Benjamin

    Alors Juda s’avança et dit : De grâce, mon seigneur, permets à ton serviteur de dire une parole à mon seigneur, sans que ta colère s’enflamme contre ton serviteur, car tu es l’égal du pharaon. La première fois, mon seigneur a questionné ses serviteurs en leur demandant : « Avez-vous un père ou un autre frère ? » Et nous avons répondu à notre seigneur : « Nous avons un père âgé et un jeune frère qui lui est né dans sa vieillesse et dont le frère est mort, celui-ci est le seul fils qui soit resté de sa mère, et son père l’aime. » Tu as commandé à tes serviteurs : « Amenez-le-moi pour que je le voie de mes propres yeux. » Nous avons répondu à mon seigneur : « Le jeune garçon ne peut pas quitter son père ; sinon celui-ci en mourra. » Alors tu as déclaré à tes serviteurs : « Si votre jeune frère ne vient pas avec vous, vous ne serez plus admis en ma présence. » Lorsque nous sommes revenus auprès de ton serviteur, mon père, nous lui avons rapporté les paroles de mon seigneur. Et lorsque notre père a dit : « Retournez là-bas pour nous acheter quelques vivres », nous lui avons répondu : « Nous ne pouvons y retourner qu’à la condition d’emmener notre jeune frère, car s’il n’est pas avec nous, nous ne serons pas admis auprès de cet homme. » Alors ton serviteur, mon père, nous a dit : « Vous savez vous-mêmes que ma femme m’a donné deux fils. Le premier, parti de chez moi, a été, je pense, dévoré par une bête sauvage, et jusqu’à ce jour, je ne l’ai plus revu. Vous prenez encore celui-ci pour l’emmener loin de moi ; s’il lui arrive malheur, vous me ferez mourir de douleur à mon grand âge. » Maintenant donc, si je retourne auprès de ton serviteur, mon père, sans ramener avec nous le jeune homme auquel il est tellement attaché, quand il verra que le garçon n’est pas là, il mourra, et tes serviteurs seront responsables de l’avoir fait mourir de douleur dans son grand âge. Car moi, ton serviteur, j’ai pris la responsabilité du jeune homme devant mon père ; je lui ai dit : « Si je ne te le ramène pas, je serai pour toujours coupable envers mon père. » Maintenant donc, je te prie, permets à ton serviteur de rester comme esclave de mon seigneur à la place du jeune homme, et qu’il reparte avec ses frères. Comment pourrais-je retourner chez mon père sans le garçon ? Ah, que je ne sois pas témoin du malheur qui frapperait mon père !

    Ref: I9BTCB5RTZ

    Condition Bon état
    Style Renaissance (Vitraux Renaissance)
    Siècle XIXe siècle (Vitraux XIXe siècle)
    Pays d'origine France
    Diamètre (cm) 28,8
    Matériaux Verre
    Délai d'expédition Prêt à être expédié en 4-7 jours ouvrables
    Localisation 37230, Luynes, France
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